Il n’existait pratiquement rien sur le Régent François Le Lionnais, fondateur de l’Oulipo. Ce numéro trace un portrait de l’ « encyclopédisparate » qu’il était, en se fondant notamment sur ses propos enregistrés. Le disparate, la mathématique, les machines, la musique classique ou potentielle, la peinture réelle ou imaginaire, la littérature et la paralittérature, le jeu d’échecs et, bien sûr, l’Ou-X-Po et les premiers ouvroirs constituent les facettes du portrait. Celui-ci rappelle aussi les relations du Régent avec Max Jacob, Raymond Roussel ou les TT.SS. Marcel Duchamp et Raymond Queneau. Dossier réuni avec l’aide du Régent Paul Braffort. – Dans la partie officielle : des lettres inédites de Sa Magnificence le Docteur Sandomir et du T.S. Ionesco (sur la façon de mettre en scène La Cantatrice chauve), et un article en béton sur l’art de se parer du nom du Collège de ’Pataphysique.

Officiellement
 
Béton
Claude Ernoult
Michel Décaudin
L’Art absent
Courrier des Sous-Commissions
 
Courrier des Instituts
 
Céphalorgie
 
François Le Lionnais, R., encyclopédisparate
Du vrai & du faux disparate
Mathématique sérieuse
Demain les machines
Les muses & les arts
Les Ouvroirs & le Collège
FLL & l’Oulipopo
Le succès des échecs