L'incroyable histoire de l'homme qui découvrit l'Atlantide!

Le nouveau roman de
Marc Meganck


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J

J

Sous-catégories

  • Jacamon (Luc)
  • Jacarbo
  • Jacobs (Edgar Pierre)
  • Jamar (Martin)
  • janjetov (Zoran)

    Naissance de Zoran Janjetov le 23 juin à Subotica 1961 en Yougoslavie. Passionné depuis sa plus tendre enfance par le dessin et la peinture, Janjetov étudie aux Beaux-Arts de Novi Sad. En BD, ses influences s'articulent autour des publications Disney et de la science-fiction, avec le britannique Frank Hampson et déjà Moebius. Outre des illustrations en tout genre (couvertures de livres, pochettes de disques et même génériques télés), Janjetov publie en 1979 ses premières planches dans la presse estudiantine. Adoptant un graphisme hérité de Moebius, il crée en 82 Bernard Panasonik, héros de science-fiction à tendance parodique. Moebius apprécie tellement les planches de Janjetov qu'il lui confie les couleurs des tomes 5 et 6 de l'Incal. C'est donc logiquement que Janjetov dessine en 1986 le spin-off Avant l'Incal, point de départ d'un nouveau cycle scénarisé par Jodorowsky. Après six volumes d'Avant l'Incal, Zoran Janjetov rempile avec Jodorowsky sur Les Technopères, une nouvelle série se déroulant dans l'univers de l'Incal. Le trait de plus en plus personnel de Janjetov y est servi par une audacieuse mise en couleurs signée Fred Beltran. Le tome 8 des Technopères paru en 2006 clôture avec brio ce premier cycle déjà best-seller. Il revient en 2010 avec une nouvelle série de science-fiction Ogregod.

  • Jannin (Frédéric)

    Frédéric Jannin est né en 1956 en Belgique. Parrainé par Franquin et Yvan Delporte, il s'est tout d'abord fait connaître en tant que dessinateur dans Le Journal de Spirou et Le Trombone illustré, les séries Germain et nous..., Les Démêlés d'Arnest Ringard et d'Augraphie ou encore Didi.

  • Jano
  • Janolle (Alain)
  • Janry
  • Jaouen
  • Jaradin (Marcel)
  • Jarbinet (Philippe)
  • Jarry (Charles)

    Signe aussi sous les pseudos de Vinicius et Shannon. Né en 1942 en Belgique, il a créé la série Les Baroudeurs sans frontière qui se poursuit sous le nom de Costa.

  • Jason
  • Jérémy

    Jérémy Petiqueux.

  • Jeronaton

    Jean Albert Lucien Torton naît à Ghlin (Belgique) le 4 septembre 1942. Dès son plus jeune âge, il consacre tout son temps au dessin (y compris les heures de cours !) mais aussi à la lecture de BDs comme "Tintin" et "Spirou". Ses parents l'inscrivent très tôt dans une école de dessin à St Luc. Après avoir appris l'essentiel du dessin dans son école, il décide de la quitter et d'aller montrer ses dessins à Hergé. Les créations de Jean plaisent à Hergé qui lui propose de travailler dans son atelier. Cette rencontre va en entraîner de nouvelles : Jean va connaître Jacques Martin, Bob De Moor, Edgard P. Jacobs, Roger Leloup et d'autres encores... Plus tard, le travail de Jean étant suffisament bon aux yeux d'Hergé, ce dernier le présente au rédacteur en chef de "Tintin", Mr Deshayes. Jean dessine alors sa première histoire sur un scénario d'Yves Duval : "Little Big Horn". Il écrit lui-même le scénario de sa seconde histoire qu'il intitule "Le combat des trente". Il doit alors créer une histoire de quatre planches tous les mois pour le journal "Tintin". Le rédacteur en chef Mr Deshayes est ensuite remplacé par Greg qui ne s'entend pas avec Jean. Cette mésentente entraîne la diminution du travail de Jean. Ce dernier s'oriente alors vers la BD de Presse quotidienne pour le journal "Le soir", crée des BDs verticales sur différents sujets, puis se tourne vers le dessin animé et entre au studio Belvision. C'est alors qu'il rencontre Claude Lambert et devient décorateur de dessin animé. Il dessine, entre autres, les décors d'"Astérix et Cléopâtre" et "Le temple du soleil". Il retourne voir Greg et fait une nouvelle histoire courte qui lui plaît : "L'histoire de Popocatepetl" et un peu plus tard "Les conquérants du Mexique". Le premier épisode voit le jour en 1971 et connaît du succès en Belgique et en France. Fidèle à l'histoire et ne voulant pas prendre partie, Jean ne privilégie pas les indiens par rapport aux espagnols, ce qui déplaît à Greg qui ne veut pas que la suite soit faite. Une suite est finalement créée avec Jean-Luc Vernal comme scénariste, puis Jean arrête la série. Il collabore plus tard avec Liliane et Fred Funcken, pour lesquels il fait les encrages de décors et colorie des BDs (série "Capitan"). À la même période, Jean va voir Paul Cuvelier et fait quelques travaux avec lui, alors que celui-ci travaille sur "Le prince des sables" et "Epoxy". (Jean fait les couleurs du "Prince des sables"). Jean décide plus tard de faire un retour à la nature accompagné d'amis avec lesquels il achète un terrain dans le sud de la France et vit en autarcie. Puis il revient à la BD et devient un des premiers à faire de la BD peinte avec "Champakou", "L'œuf du monde", "Les Amazones", etc. créées pour le périodique "Métal hurlant". C'est à cette époque qu'il va être connu sous le pseudonyme de Jéronaton qu'il crée lui-même, mettant les lettres de son nom dans un autre ordre afin d'obtenir un nom à consonnance maya et égyptienne. Il travaille aussi pour Magic Strip et Glénat pour lesquels il fait les albums "Le grand passage" (1982) et "Théodora" (1989), puis pour Bédéscope avec "L'éternel voyage" (1985). Auparavant (en 1979), Jean était allé faire un tour en Inde, allant dans des endroits perdus ou personne n'était allé jusqu'alors, habités par des mélanésiens, les premiers habitants du pays avant l'invasion aryenne. Il garde un merveilleux souvenir de ces gens, affirmant qu'il avait rarement rencontré "autant de gentillesse et d'altruisme". Jean est l'auteur d'une Bible en dix volumes (Éditions du Lombard), un très long travail reflétant la remise en question de son christianisme dans lequel il est tombé étant petit (au lieu d'étudier la Bible, chose qu'il n'a pas le temps de faire, il décide d'en faire un travail). Restant dans le même thème, il peint ensuite un bout des évangiles en un album : "Yeshoua". Il arrête la bande dessinée pour se consacrer entièrement à l'illustration de livres éducatifs. Après un long moment d'illustration, Jean s'intéresse aux images de synthèse et fait plusieurs reconstitutions en 3D pour des encyclopédies (représentant des sites précolombiens principalement). Commençant à bien intégrer la technique de la 3D, il décide de faire une BD uniquement par ordinateur (images de synthèse et 3D) et en rapport direct avec sa passion de toujours : les Mayas. Il crée alors "Princesse Maya", racontant l'histoire d'une princesse de vingt ans, Ikchel, confrontée au mariage forcé avec le fils du roi d'une cité proche de la sienne, alors qu'elle est folle amoureuse d'un jeune paysan nommé Chetumal. C'est la toute première BD en 3D. Là-dessus, Casterman contacte Jean et lui propose de faire les voyages d'Alix chez les indiens précolombiens. Jean accepte, et dessine alors "Les Mayas" I et II, "Les Aztèques" et "Les Incas" (en cours de finition). Prochainement, Jean Torton nous offrira un voyage chez les Indiens d'Amérique du Nord avant l'arrivée de Christophe Colomb, toujours en compagnie d'Alix.

  • Jidéhem

    Né le 21 décembre 1935, Jean De Mesmaeker, dit Jidéhem, suit les cours d'art décoratif à l'institut Saint-Luc de Bruxelles et présente ses premiers travaux à Fernand Cheneval, éditeur et animateur de l'hebdomadaire Heroïc-Albums, qui l'encourage et publie en feuilleton à partir de 1953 ses deux premières histoires, "Ginger et le collectionneur" et "Le Baron est fou". Jidéhem va ensuite réaliser pour ce journal une demi-douzaine d'enquêtes de son détective "Ginger", ponctuées de mitraillades, de poursuites automobiles et de crashes spectaculaires. À la disparition d'Heroïc-Albums, fin 1956, il se présente chez Dupuis. Son type de série semi-réaliste et violente effarouche l'éditeur fort soucieux de la censure française : Ginger ne vivra de nouvelles aventures dans Spirou qu'en 1979, lorsque le seuil de tolérance dans les publications pour la jeunesse se sera nettement relevé. Franquin se trouve toutefois débordé par les nombreuses responsabilités qu'il a acceptées (la série "Spirou et Fantasio", les animations de couvertures du journal et l'illustration de la rubrique automobile "Starter"; les gags hebdomadaires de "Modeste et Pompon" dans Tintin et la création envisagée de "Gaston") et Jidéhem lui est présenté. Il entre dans l'atelier du Maître et participe aux décors de Spirou à partir du "Prisonnier du Bouddha", reprend et développe l'animation graphique des articles de Starter, collabore largement aux premières années de "Gaston Lagaffe" (Son véritable patronyme sera d'ailleurs accordé à l'"homme aux contrats" de la série.). Il rêve pourtant toujours d'une série personnelle et l'abordera par un biais, car l'éditeur se montre réticent à laisser se disperser le parfait collaborateur de son auteur vedette. Franquin me conseilla d'en parler à Delporte," se souvient Jidéhem. "Et Delporte me déclara : -"Il n'y a qu'une seule solution. Je vais t'écrire un synopsis. Comme je suis le rédacteur en chef, je serai bien forcé de l'accepter..." Et il le fit avec "Starter contre les Casseurs". Ce banc d'essai animant le personnage d'une rubrique du journal incite l'éditeur à lui donner carte blanche, pour autant qu'il évite le genre policier où Tillieux se trouvait déjà la cible des censeurs parisiens. Comme sa femme attendait une petite fille, l'artiste décide de lancer une jeune héroïne, "Sophie", qui apparaîtra avec Starter dans l'épisode suivant ("L'œuf de Karamazout", 1964), puis prendra son autonomie et vivra une vingtaine d'aventures jusqu'en 1995, souvent sur scénario de Vicq. Lorsque sa fille aura dépassé l'âge de son héroïne, Jidéhem réduira nettement sa production, adaptant de 1990 à 1993 quelques "Chansons cochonnes" pour les éditions Top Game de son ami Carpentier. Son essai de relancer "Ginger" tourna court, mais il conserve une grande nostalgie de son premier personnage et regrette de n'avoir pu lui consacrer une carrière complète.

  • Jigounov (Youri)
  • Jijé
  • Joan

    Pseudonyme de Joan Spiess.

  • Jones (Jeffrey G.)
  • Joos (Louis)

    Louis Joos, fils de musiciens, vit depuis longtemps à Bruxelles. Autour de lui, des montagnes de livres d'images, de disques de jazz, des objets de tous genres et un grand piano. Il utilise les techniques les plus variées pour faire vivre un monde où les personnages évoluent le plus souvent dans de grands espaces déserts ou de grandes cités. De l'ambiance du « Titanic » à celle du Grand Nord en passant par les forêts d'Afrique et les volcans d'Indonésie.

  • Jordan (Sydney)
  • Jouvray (Jérôme)
  • Juillard (André)

    André Juillard nait à Paris, le 9 juin 1948. Très rapidement, la passion du dessin est au rendez-vous. Enfant, il dévore l’hebdomadaire Tintin. La lecture des Hergé, Jacobs, Martin et Bob De Moor de la haute époque font de lui un spécialiste, encore inconscient, de la ligne claire. Le manuel d’histoire de la classe de sixième sera sa seconde grande influence, spécialement les pages consacrées à l’Antiquité. Il ne le sait pas encore, mais sa passion pour la ligne claire, l’Histoire et les histoires feront de lui un auteur moderne n’oubliant jamais de tirer les leçons du passé. Après avoir passé son bac en 1967, il s’inscrit aux Arts Décoratifs de Paris, où il rencontre Martin Veyron et Jean-Claude Denis. En 1974, il fait ses débuts dans Formule 1, avec un western scénarisé par Claude Verrien. Ce dernier lui écrit Les Aventures chevaleresques de Bohémond de Saint-Gilles. Les amateurs éclairés devinent déjà un grand espoir de la bande dessinée réaliste. En 1978, il dessine Les Cathares dans Djinn avant d’entamer une collaboration fructueuse avec Patrick Cothias en publiant Masquerouge dans Pif Gadget. En 1982, avec le même scénariste, il publie les premières pages des Sept Vies de l'Épervier qui le font entrer directement dans la section « classiques de la BD contemporaine ». Comme Jacques Martin le fit en son temps avec Alix, Juillard crée un nouveau pan de BD historique réaliste. Une véritable école s’en inspire, quelques talents, beaucoup d’ersatz. Lui, humble, continue son chemin. Comme tous les grands dessinateurs, il se sent des ailes pour, de temps à autre, écrire le récit qu’il mettra ensuite en images. D’autant que, parfois, il éprouve le besoin d’échapper à l’Histoire, sa maîtresse favorite. Pour (À SUIVRE), il publie l’intimiste Cahier bleu qui lui vaudra, en janvier 1995, le Prix du meilleur album au Festival d’Angoulême. L’année suivante, il recevra le Grand Prix du même festival. Les Sept vies de l’Épervier se sont achevées après sept albums aux éditions Glénat. La belle Arianne de Troil manque autant à ses créateurs qu’au public. Nécessité fait loi : elle reviendra au sein de la série Plume au vent chez Dargaud. Si le premier cycle se déroule en France, la suite (4 volumes) met en scène une Amérique qui aurait pu être française. L’ombre de Blake et Mortimer se rapproche progressivement de Juillard. À la fin des années quatre-vingt, les éditions Blake et Mortimer le contactent pour réaliser le second tome des Trois Formules du professeur Sato. Mais il ne se sent pas encore prêt à relever un tel défi. Cependant, en 1998, il crée chez Dargaud, avec son vieux complice Didier Convard, la collection Le dernier chapitre, contant la dernière aventure des plus célèbres héros de l’âge d’or de la bande dessinée. Un opus sera bien évidemment réservé à Philip Mortimer et Francis Blake. L’heure de vérité vient quand, en 2000, il dessine, sur un scénario d’Yves Sente, La Machination Voronov. En 2003, la même équipe publie le premier tome du diptyque Les Sarcophages du 6e continent, suivi un an plus tard du tome deux. Juillard poursuit sa lancée en réalisant dans la même collection Le sanctuaire du Gondwana. En dehors de sa participation à la série Blake et Mortimer, il travaille avec de nombreux grands scénaristes comme Pierre Christin (Léna), ou encore Yann (Mezek). En tant qu’illustrateur, il se distingue notamment aux éditions Beaulet et également chez Daniel Maghen, qui publie une autobiographie par images, Entracte. Ses talents sont célébrés lors du festival BDFIL de Lausanne en 2008, où il est l’invité d’honneur. Une exposition « Destins-Dessins » est d’ailleurs consacrée à son œuvre.

  • Jul

    Pseudonyme de Julien Berjeaut.

  • Jung

    Sik Jun Jung est né le 2 décembre 1965 à Séoul, en Corée. Adopté par une famille belge en 1971, il prend pour nom d'adoption Jung Henin. Il suit des études d'Humanités Classiques (latin et mathématiques) à l'Athénée Royal de Rixensart, avant de fréquenter un an, en 1985, l'atelier Saint-Luc de Bruxelles. Il étudie ensuite à l'académie des Beaux-Arts de Bruxelles, en section Illustration. Parallèlement, il fait un bref passage dans le dessin animé, à la Cambre. C'est en 1987 que sa carrière prend un tournant décisif, puisqu'il rencontre Marc Michetz, qui le présente au magazine Spirou. Cela lui permet d'illustrer quelques courts récits dans Spirou et Tintin. Il travaille alors quelques mois dans l'atelier d'Yslaire et de Darasse, et illustre aussi les couvertures du Belgian Business Magazine. En 1991, Jung publie le premier des quatre tomes de Yasuda, chez Hélyode-Lefranc. La finalité de ses dessins est pour lui de faire transparaître des émotions, des sentiments, avec des personnages bien présents, vivants. En 1997, en collaboration avec Martin Ryelandt, il réalise La Jeune Fille et le Vent, aux éditions Delcourt. L'univers asiatique de cette série d'heroïc-fantasy est un retour à ses origines coréennes, et le fantastique lui permet de renforcer le côté évocateur de son dessin, notamment pour le héros : le Vent. Il signe avec Kwaïdan son premier scénario, une nouvelle série qui frappe par la beauté des couleurs directes et la poésie subtile et raffinée qui émane de ce conte nippon.

  • Jurdic (Benjamin)
  • Jurion (Joël)
  • Jusseaume (Patrick)
  • Juszezak (Erik)

    Erik Juszezak est né le 13 janvier 1959 à Douala (Cameroun). Il commence sa vie professionnelle dans des studios de création apprenant son métier sur le tas depuis l'exécution jusqu'à l'illustration en passant par la maquette. En 1986, il réalise des illustrations du comics pastiche dans le livre « des Nuls » (éditions Albin Michel) ainsi que des illustrations pour la collection de « livres dont vous êtes le héros », aux éditions Hachette. Son tout premier album de bande dessinée sort en 1988 aux éditions Glénat. Intitulé Les Crocs d’ébène, il reste dans la veine d’une histoire interactive dont le lecteur est le héros. Dès lors, il illustre les livres de la série Indiana Jones Jr, et des Conquérants de l'impossible de Philippe Ebly, chez Hachette. En parallèle, Juszezak réalise diverses illustrations publicitaires. En 1995 sort le premier tome de sa série Beaux Rivages, scénarisée par Patrick Cothias, aux éditions Dargaud. Le deuxième tome, intitulé Les Chemins de Valparaiso, sort en 1997. La série est alors interrompu par l'éditeur. Un an plus tard, il commence une toute nouvelle série, Oki, souvenirs d’une jeune fille au pair (6 tomes, éditions Glénat), avec le scénariste Christian Godard. En 2003, il s’essaie au scénario en écrivant Le Méridien des Brumes, un récit complexe dans la lignée steampunk, publié aux éditions Dargaud dont il confie le dessin à Antonio Parras. En 2005, le don de dessinateur réaliste d'Erik Juszezak se déploie dans des projets d'envergure. Il participe à la série des éditions Dupuis, Pandora Box, et dessine le cinquième tome, sous la plume du scénariste Alcante. La même année, c’est pour le scénariste Yann qu'il va dessiner le premier tome de Narvalo, une série d'espionnage et d'anticipation, aux éditions Dargaud. Le deuxième tome paraît en 2010. En 2008, Juszezak participe à la série Empire USA et dessine le troisième tome de ce thriller apocalyptique passionnant (éditions Dargaud). En 2007 est publié le premier tome de Dantès, polar financier, devançant de quelques mois de par son intrigue, l'affaire Kerviel, scénarisé par Pierre Boisserie et Philippe Guillaume, chef du service financier du quotidien Les Échos.

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