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G

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Sous-catégories

  • Gajic (Aleksa)
  • Gal (Jean-Claude)
  • Galland (Christelle)

    Christelle Galland est illustratrice et dessinatrice de BD. Elle fait des études en communication graphique et visuelle à Aurillac, avant de rejoindre l'école Pivaut d'arts appliqués de Nantes, où elle se spécialise en bande dessinée. Après quatre années de dur labeur, elle multiplie les projets éditoriaux. Le déclic aura lieu avec la rencontre de Patrick Cothias et Patrice Ordas pour aboutir en 2011 avec la sortie du "Le fils de l'officier" chez Bamboo dans la collection Grand Angle. En février 2014 le 3e tome vient conclure brillamment cette histoire. En mars 2015 paraît le premier tome de sa série "Moses Rose".

  • Garcia (Frédéric)
  • Garcia (Luis)
  • Garcia (Sergio)
  • Garreta (Renaud)

    Né à Brest en 1964, Garreta est le dessinateur d'Insiders, Le Maître de Benson Gate, ...

  • Gaty (Christian)

    Après l'École Nationale supérieure des Beaux Arts, Gaty fonde (avec Raymond Poïvet, Paul Derambure et Robert Gigi), l'atelier de la rue des Pyramides. Il collabore aux éditions Meuwissen, (Lectures d'aujourd'hui) à la Société Parisienne d'Éditions, ainsi qu'au groupe Marijac. Dans Mickey, il crée avec Nortier, Thierry la Fronde, puis Les Espadons. Aux éditions Vaillant, toujours avec Nortier, Le Grèlé 7-13, puis Fanfan la Tulipe qu'il continue en solo avant d'entamer Cogan, une histoire d'aventures avec Jean Ollivier, inspirée des campagnes de la W.W.F. Gaty collabore chez Larousse à l'Histoire du Far-West avant de reprendre en 1980, le Démon des Caraïbes (Barbe Rouge) avec J.M. Charlier, après Hubinon et Jijé... Il retrouve Jean Ollivier, comme scénariste, au moment de la disparition de Jean-Michel Charlier.

  • Gaudelette (Michel)

    Né à Paris le 26 février 1959, Michel Gaudelette est le fils d'un excellent dessinateur réaliste qui, sous le pseudonyme d'André Joy, publia longtemps les aventures d'un jeune jockey (P'tit Joc) dans Vaillant avant de multiplier les récits complets dans Line, Cœurs-Vaillants, Djin, Lisette, etc. Cette hérédité le dirige vers la carrière paternelle, mais en cultivant pour sa part l'humour décalé et la caricature délirante. Après avoir passé son baccalauréat dessin, il suit les cours de l'école des Beaux-Arts de Paris, puis celle des Arts Appliqués et anime son propre fanzine Kolossal Ekatomb (1979). De 1983 à 1990, il travaille dans la publicité, sans trop d'enthousiasme, mais il faut bien remplir la marmite. Sa carrière prend un tout autre tour lorsqu'il arrive à glisser ses premières histoires complètes dans Fluide Glacial dont il deviendra rapidement un pilier. Sur des scénarios de Sauger, Radada, la méchante sorcière investit le mensuel et paraît en albums aux éditions Audie dès 1994. Sa rencontre avec Emmanuel Larcenet l'incite à créer avec celui-ci Onc' Donald, une vision très particulière de l'univers des célèbres canards disneyens. Régulièrement sollicitée pour animer les marges de Fluide Glacial, son autocaricature est la vedette d'un album hilarant sur les coulisses du métier (La Vie des Festivals, Fluide Glacial, 2000).

  • Gaultier (Christophe)

    Né le 21 mars 1969 à Chateauroux, Christophe Gaultier est titulaire d'un diplôme en communication visuelle. Après dix ans passées dans l'animation et après avoir collaboré au long-métrage "Les Triplettes de Belleville", il décide de se consacrer entièrement à la bande dessinée. En 2000 il publie "Grise Mine", son premier essai avec A. Thomas au scénario. Viendront ensuite une longue suite d'œuvres scénarisées par Sylvain Ricard : "Banquise" en 2003 puis « Kuklos » en 2004 aux Editions Soleil. En 2003 paraissent les deux premiers épisodes du "Cirque Aléatoire" chez Treize étrange/Milan. En 2004 c'est sur un récit autobiographique qu'il travaille : "Clichés Beyrouth 1990" aux Humanoides Associés encore et toujours avec Ricard au scenario. En 2005 paraît «Les Origines du Cirque Aléatoire». En 2006, il se raconte en solo dans "Demi course et casquette Motul" chez Dupuis puis dessine « Guerres civiles » sur un scénario original de JD Morvan et Sylvain Ricard chez Futuropolis.

  • Gazzotti (Bruno)

    Bruno Gazzotti est né le 16 septembre 1970 sur les hauteurs de Liège, à Cointe. Son grand-père italien était venu travailler dans les mines belges. Arrivé en Belgique à l'âge de 4-5 ans, son père avait opté pour la nationalité belge et épousé une Liégeoise. Professeur d'éducation physique comme son épouse, il suivait avec passion les B.D. proposées par SPIROU et TINTIN. Le jeune Bruno va rapidement être contaminé par ce virus. Très jeune, il s'efforce d'apprendre à lire pour comprendre les textes qui accompagnent les images qui l'attirent. Spirou, Tintin, Gaston et Natacha comptent parmi ses héros préférés et il dessine énormément pour se faire la main. D'un naturel plutôt timide, il trouve dans cet exercice une manière de se faire apprécier et encourager par un milieu très ouvert à la bande dessinée. Il termine ses études secondaires à l'Institut Saint-Luc de Liège et y aborde le cycle supérieur à l'automne 1988, à la section des Beaux-Arts, mais le côté académique de ce type de cours et le penchant de ses professeurs pour l'illustration plutôt que la B.D. l'ennuient rapidement. En novembre 1988, peu après ses dix-huit ans, il se présente à SPIROU avec un dossier d'essais en genres divers (humoristique, réaliste, semi-réaliste) et quelques planches de gags tournant autour de la profession de vétérinaire. Ce dernier projet ne sera pas retenu, mais sa palette fort variée séduit Patrick Pinchart, rédacteur en chef à l'époque, qui lui commande quelques illustrations pour la rubrique "Zig-Zag" et l'envoie à tout hasard chez Tome, qui cherche un collaborateur pour assister Janry dans la réalisation des gags du "Petit Spirou". Après une page d'essai sur ce personnage, Gazzotti est engagé à l'Atelier Tome et Janry, et abandonne ses études pour se consacrer entièrement à la B.D. Sa collaboration au "Petit Spirou" commence au vingtième gag et se prolongera sur une soixantaine de planches, avec quelques coups de main sur l'épisode "Spirou et Fantasio à Moscou". Il est toutefois particulièrement attiré par les aventures de type semi-réaliste et c'est tout naturellement que Tome songe à lui en juin 1989 pour reprendre le dessin de la série "Soda" que Luc Warnant souhaite abandonner. A la planche 12 du troisième épisode de ce personnage ("Tu ne buteras point"), Bruno Gazzotti s'attaque à cette gageure et la remporte haut la main. Après s'être plié au moule initial, le jeune créateur talentueux dégage son propre style et affine cette série d'album en album. Il s'appuie notamment sur une documentation riche de plusieurs milliers de photographies prises lors de ses séjours à New York. Sa mise en pages efficace et dynamique va porter les aventures du détective parmi les best-sellers. Après avoir longtemps habité Bruxelles, à l'atelier Tome et Janry, Gazzotti est revenu à Liège où, en parallèle aux récits de son personnage principal, il commence à former de jeunes artistes de la Cité Ardente dans des récits complets semi-réalistes.

  • Geerts (André)

    Né le 18 décembre 1955 à Bruxelles, André Geerts aurait pu être pâtissier, pharmacien, parolier, joueur professionnel de tennis ou vainqueur du Tour de France. Heureusement pour nous tous, il a préféré se consacrer à la bande dessinée (tout en conservant d'autres passe-temps). Sorti de l'Institut Saint-Luc, comme bien d'autres artistes locaux, il publie sa première planche en 1974 dans LE SOIR-JEUNESSE et envisage une carrière dans le dessin de presse. C'est le journal SPIROU qui lui ouvre presque aussitôt ses portes, le rodant à l'animation de rubriques ("La Petite chronique vénusienne", sur scénario de Jean-Marie Brouyère), aux histoires complètes et aux cartoons. Ces derniers formeront une intégrale presque complète en deux volumes dans la collection "Humour Libre" ("Bonjour, monde cruel" et "Bonsoir, monde cruel") vingt ans plus tard, sans avoir pris une ride ! Il crée la série "Jojo", la série qui le rendra célèbre, en 1983, toujours pour Dupuis, une charmante plongée dans le monde de l'enfance. L'évocation des menues aventures quotidiennes de cet attendrissant gamin a su conquérir les lecteurs de tous âges par sa fraîcheur et sa grande sincérité. Geerts est resté un grand bambin. Avec Salma, André Geerts lancera en 1993 chez Casterman la série "Mademoiselle Louise", une pauvre petite fille riche dont les rares apparitions découlent du même filon de tendresse graphique que son adorable Jojo. Maîtrisant aussi bien le noir et blanc que les couleurs, Geerts s'est construit un style personnel où se mélangent émotion et ironie, amitié et joies simples. Rarement un auteur aura autant ressemblé à son dessin : généreux, sensible, timide et modeste.André Geerts a reçu le prix des lecteurs jeunesse 2007 au festival de Vaison-La-Romaine pour "Jojo vétérinaire", le 17e album de la série Jojo.

  • Geluck (Philippe)
  • Genêt (Frédéric)
  • Géri

    Henri Ghion, dit Géri, est un dessinateur belge né le 23 mars 1934 à Anderlecht (commune de Bruxelles-Capitale). Après avoir débuté dans une imprimerie, Géri est engagé à 16 ans comme assistant par Raymond Reding, le dessinateur de Jari. Il travaille parallèlement dans la publicité puis, en 1953 (il a 19 ans), entre aux Studios Hergé comme coloriste. Sous la direction de Bob de Moor, il participe aux décors des Aventures de Tintin. L’année suivante, après son service militaire, il devient illustrateur d’articles et de couvertures pour Le Journal de Tintin. Guy Dessicy le recrute alors au studio de publicité Publiart, où travaille également Tibet. Cette agence utilise les personnages du Journal de Tintin pour les décliner dans des publicités. Géri réalise de plus des illustrations pour des contes, des couvertures et des nouvelles. En 1962, pour Junior, Géri crée Pif le Kangourou1 puis, en 1966 pour Tintin, il crée le SKBLLLZ, un animal bizarre très poilu et qui pond des œufs. Toujours en 1966, il collabore à Pilote avec des épisodes de la série humoristique Pikratt scénarisés par Acar. Géri se tourne vers la bande dessinée réaliste en 1969 en dessinant, sous le nom de Ghion, la série Mr Magellan pour Le Journal de Tintin et Tintin Sélection. Les deux premiers épisodes, I.T.O. et Hold-up au Vatican, sont écrits par Jean Van Hamme sous le pseudonyme de Vanham. À partir du troisième épisode, en 1971, c’est André-Paul Duchâteau qui prend le relais au scénario. En 1980, Géri écrit et dessine Lady Black face au diable ; ce récit sera sa dernière contribution à la bande dessinée. En effet, atteint d’une thrombose à l’âge de 46 ans, il est progressivement paralysé du côté droit, ce qui l’empêche de dessiner. Après 20 ans de lutte contre cette maladie, Géri apprend à peindre de la main gauche et se consacre à la peinture. Il décède le 3 février 2015.

  • Géron (Jacques)
  • Gess
    Stéphane Girard, dit Gess, est né en 1961 à Rouen. Il est le dessinateur de Carmen Mc Callum, Teddy Bear, Kazandou, etc...

  • Giardino (Vittorio)
  • Gibrat (Jean-Pierre)
  • Giffey (René)

    René Giffey (1884-1965) fut scénariste et dessinateur. En 1921, il reprend L’Espiègle Lili. Il collabore à Fillette, l'Epatant, Cri-Cri, l'As, Hardi !, l'Intrépide, Junior, puis Tarzan. Parmi une production pléthorique citons l'Aigle des mers, le Comte de Monte-Cristo, le Corsaire de la mort, Jean Bart, le Lion des mers.

  • Gigi (Robert)
  • Gihef
  • Gillon (Paul)
  • Gimenez (Carlos)
  • Gimenez (Juan)

    1943 : Naissance le 26 novembre de Juan Gimenez à Mendoza, en Argentine.
    Après avoir suivi des cours de mécanique de précision et de dessinateur industriel dans son pays, puis de dessin tout court à l'Académie des Beaux-Arts de Barcelone, il se dirige d'un pas enfin décidé vers la bande dessinée : dès seize ans, Gimenez publiait ses histoires dans la presse de son pays mais, récession économique oblige, avait un temps changé son pinceau d'épaule. De retour chez lui, il entame alors une collaboration suivie avec les deux plus importants éditeurs argentins: Colomba et Record.
    1970 : Gimenez revient, pour s'y installer cette fois, sur la Costa Brava espagnole.
    1979 : Après l'Italie (dans Lancio Story et Skorpio) et l'Espagne (dans le magazine 1984), la France. Glénat publie son premier album en français, sur un scénario de Barreiro, L'Étoile noire. Suivront (chez Glénat, Dargaud, Bagheera et Albin Michel, histoire de voir du pays éditorial) La Véritable Histoire de Léo Roa, Mutante, Le Quatrième Pouvoir, Le Regard de l'Apocalypse et Titania.
    1981 : Il participe aux côtés d'Harry Canon à un épisode de Métal Hurlant, le film. Juan Gimenez est plébiscité par les lecteurs de 1984 et Comix (une autre revue espagnole) qui, par sondage, en font le meilleur dessinateur en 1983, 84, 85 et 90.
    1990 : Il reçoit le Gaudi du meilleur dessinateur à la Feria Internacional del Comics de Barcelone.
    1992 : Juan Gimenez rencontre Alexandro Jodorowsky, dont il admire le travail, avec Moebius notamment, depuis des années. Pour lui, Gimenez pose ses valises : avec la Caste des Méta-Barons, il s'engage pour la première fois dans une série au long cours, en collaboration avec un scénariste, le tout chez un seul éditeur. Gimenez demeure un illustrateur très demandé. On peut voir son travail sur des couvertures de roman, des pochettes de disque, et même dans des jeux vidéo dont il a réalisé la conception graphique. Il sera sans doute plus difficile de découvrir les story-boards qu'il dessine régulièrement pour le cinéma.
    1994 : Parution d'un ouvrage d'illustration de Gimenez, Arkhanes, publié chez La sirène.
    1999 : Parution d'un ouvrage des illustrations de Gimenez, Overload, publié chez Soleil.
    1992-2000 : À partir de 1992, il reprend le personnage du Méta-baron de la série l'Incal créé par Alexandro Jodorowsky et dessiné par Moebius. La Caste des Méta-Barons raconte l'histoires des ancêtres du Méta-baron. Chaque épisode correspond à un aïeul. Sept épisodes ont vu le jour et un hors série, La maison des ancêtres.
    2001 : Parution chez La sirène de L'univers de Gimenez , même contenu que Arkhanes, seule la couverture change.
    2004 : Premier album intitulé Le quatrième pouvoir,supramental, histoire de trois jeunes femmes, qui voient toutes débarquer des hommes en scaphandre qui s'emparent d'elles et font disparaître les éventuels témoins de la scène.
    2004 : Second album de la série Le quatrième pouvoir, meurtre sur Antiplana. Des scientifiques décident de créer une créature douée de pouvoirs infinis en réunissant quatre cerveaux de femmes. Ils nomment cette arme suprême QB4.
    2005 : Scénarisé par Dal Pra', Le regard de l'apocalypse paraît chez Soleil après avoir été édité chez Bagheera en 1991 et nous plonge dans un univers aussi troublant que fantastique. Tout commence en 1972, au milieu de la jungle vietnamienne, quand deux GI assistent à la mystérieuse explosion de deux hélicoptères, déclenchée par la seule force mentale d'un petit garçon.
    2006 : Parution du troisième album Le quatrième pouvoir, enfert vert ainsi que la réédition de l'intégrale de Léo roa.
    2008 : Mars, sortie de L'Île D-7, où Gimenez reprend l'univers du Quatrième Pouvoir dans cette histoire en un seul volume.

  • Gine

    De son vrai nom Christian Martinez, Gine est un auteur français né le 1er novembre 1947 à Oran (Algérie). Arrivé en France en 1962, il obtient, après plusieurs déménagements, son diplôme aux Beaux Arts de Montpellier. En 1968 il part pour 15 mois sous les drapeaux. En Juillet 1970 - Il travaille pour Jean-Paul Boyer, spécialisé dans la restauration de films cinéma. En 1971- Paris - Il collabore pendant 2 ans à divers studios de dessins animés. À partir de 1975 après quelques illustrations pour divers journaux, « Gibus » Pour Formule 1 des éditions Fleurus, où il est auteur complet. Il anime 2 séries humoristiques pour le journal des Pieds Nickelés. « Sébastien Lebonbout » et « Le Rebelle d'El Paso » sur des scénarios de Raymond Maric. « La boutique de l'angoisse » pour les éditions Dupuis, où là encore il est auteur complet. Sa première grande série, Capitaine Sabre, voit le jour au Lombard en 1979, dans le journal Tintin. Il rencontre alors Didier Convard et tous deux entament une collaboration qui durera plus de vingt ans. Convard et Gine sont les auteurs de séries importantes comme Mathieu Lamy, Neige, le Triangle Secret, toutes trois aux éditions Glénat, ainsi que de Last chez Blanco qui deviendra Finkel chez Delcourt. En 1999, il crée la maison d'édition Gibus (du nom de son premier personnage). Il sortira un journal "Nouvelles de Sabre" qui, comme le titre l'indique, informe les amoureux de cette série sur l'univers secret du Capitaine. Le projet est de rééditer tous les albums du Capitaine Sabre et de sortir de nouvelles histoires. Seul les deux premiers albums paraitront... Il a publié en 2009 le second tome d'un diptyque sur lequel il assurait le dessin et le scénario, qui lui tenait à cœur et intitulé La Grande Ombre (collection Loge Noire). En 2011, il lance une nouvelle série avec Gilles Chaillet au scénario, un peplum portant le titre : Les Boucliers de Mars. Au Festival BD d'Ajaccio, Gine a reçu le prix Évasion pour le premier tome de cette série.

  • Giordan (Raoul)
  • Gioux (Thierry)
  • Gipi

    Gipi, de son vrai nom Gian Alfonso Pacinotti, est né à Pise en 1963. En avril 1994, il commence à publier des dessins et des nouvelles dans la revue satirique Cuore. Ses premières histoires complètes en bande dessinée paraissent dans le mensuel érotique Blue puis sont diffusées dans d’autres journaux italiens. Depuis 2000, il se consacre en parallèle à la réalisation de courts et longs-métrages numériques, à travers la direction du label qu’il a créé : SantaMariaVideo, la télé qui ne transmet rien. En 2004, pour Coconino Press et Actes Sud, il réalise une première histoire longue, Notes pour une histoire de guerre et reçoit le Prix du Meilleur Livre de l’Ecole Italienne au Festival Romics 2005, puis, en février 2006, le Prix du Meilleur Album du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême ainsi que le Prix Goscinny. En mai 2005, dans le cadre de la collection Ignatz chez Coconino Press, sort Les Innocents. Ce récit a remporté le Prix Max und Moritz 2006 du Meilleur Livre Etranger au Festival de la Bande Dessinée d’Erlangen et a été nominé aux Eisner Awards 2006. En décembre 2005, il réalise Le Local, un roman graphique publié chez Gallimard, et remporte pour la deuxième fois le Prix Micheluzzi du Meilleur Dessin au Festival Comicon de Naples. Toujours en 2005, Gipi remporte le Prix Spécial du Jury pour un auteur unique au Festival de Lucca, et en 2006 le Prix Spécial du Jury au Festival des Genres Narratifs de Fiesole. Ils ont retrouvé la voiture, second volume de la série Baci dalla provincia est publié en février 2006. La nouvelle Les deux champignons est parue dans les pages de la revue Canicola au printemps 2006. Gipi travaille également à la réalisation d’illustrations pour l’édition et la presse nationale. Son dernier ouvrage, paru fin 2006, est un volume en couleurs de 120 pages intitulé S.

  • Giraud (Jean)
  • Gnoni (Laurent)
  • Godard (Christian)
  • Godi
  • Godwin (Frank)

    Frank Godwin (de son vrai nom Francis Godwin) né le 20 octobre 1889 à Washington et mort le 5 aout 1959 est un auteur de bande dessinée américain surtout connu pour ses séries Cora (Connie) et Jo Lumière (Rusty Riley), ainsi que ses illustrations de livres. Il est également un prolifique éditorialiste et illustrateur publicitaire.

  • Goepfert (Brice)
  • Goerg (Sacha)
  • Goetzinger (Annie)

    Annie Goetzinger est l’une des premières femmes reconnues dans le monde de la BD franco-belge. Née à Paris en 1951, elle débute dans Pilote. Primée à Angoulême en 1975 pour Casque d’Or, elle a publié Felina, l’Agence Hardy, l’Avenir perdu, Diva, la Kriegspiel ou encore un le roman graphique le Tango du disparu.

  • Goffaux (Gérard)
  • Gomès (François)
  • González (Jorge)
  • González (José)

    José González Navarro était un illustrateur et dessinateur espagnol. Il a obtenu une notoriété internationale pour son interprétation du personnage de Vampirella pour Warren Publishing, Il a consacré les dernières années de sa carrière professionnelle à l'illustration de textes et couvertures.

  • Goossens (Daniel)
  • Gos
  • Gotlib (Marcel)
  • Götting (Jean-Claude)
  • Goux (Pierre-Denis)
  • Grammat (Georges)
  • Graton (Jean)
  • Gravé (Vincent)
  • Gray (Clarence)
  • Greg
  • Grenier (Sébastien)
  • Grenson (Olivier)

    Ce natif de Charleroi confirme son tournant dans sa carrière adoptant un dessin en couleur directe depuis « La Femme Accident » dans la collection Aire Libre (Dupuis) et devenant auteur complet avec « La Douceur de l’Enfer » dans la collection Signé (Le Lombard).
    Deux collections d’auteur pour un artiste particulièrement talentueux, sensible et élégant. Fils d’un ingénieur et d’une peintre, Olivier Grenson a cru très jeune à sa vocation pour la bande dessinée. Après des humanités scientifiques, il étudie de 1981 à 1985 le cinéma d’animation à L’école de recherche graphique de Bruxelles (ERG).
    Il y réalise notamment un court métrage de 3’40 « Sauve qui Peut » diffusé sur la RTBF.
    Le soir, il rejoint l’atelier d’EDDY PAAPE, cours de Bande Dessinée. Il publie « Aldose et Glucose » au journal Tintin de 1984 à 1986.
    Olivier Grenson cumule les fonctions, il enseigne le dessin puis la Bande Dessinée et la narration à l’ ERG et anime pendant six ans (de 1989 à 1995) la rubrique BD pour l’émission « Clip Clap » sur RTL TVI.
    Après une adaptation avortée de « Malvira » en BD et deux histoires courtes de « Jack et Lola » avec Patrick Chaboud, pour le journal Circus en 1988, Olivier Grenson rencontre Michel Oleffe en 1990. Les 7 épisodes de la série « Carland Cross », réalisée avec Michel Oleffe, le révèlent.
    En 1994, « Carland Cross » est adapté en une série de 26 épisodes de 26 minutes dessins animés. (RTBF, TF1, CANAL+…).
    Mais Jean Dufaux lui donne l’occasion de créer son héros. « Niklos Koda » est ainsi devenu en quelques années l’un des piliers de la collection troisième vague des éditions Le Lombard.
    Le premier cycle de 10 albums s’est achevé en fin 2008. Son tournant de carrière se confirme.
    Il termine son premier diptyque « La Femme Accident » réalisé en couleurs directes sur un scénario de Denis Lapière dans la prestigieuse collection Aire libre, Il s’en expliquait sur Auracan.com : « Cela fait longtemps que je travaille en noir et blanc. J’avais envie de changer de technique. Il y a toujours une frustration de voir son travail mis en couleur par quelqu’un d’autre. Et ce projet était tout à fait adéquat pour passer à la couleur directe, je pouvais travailler la lumière d’une autre manière, et rendre les émotions de façon plus subtile.
    En bande dessinée, il y a trop d’étapes successives qui tuent un peu le dessin. Mon idée est de supprimer les répétitions pour aller à l’essentiel de façon plus spontanée et plus intuitive. D’autre part, il fallait une adéquation entre le traitement du dessin et le travail d’écriture de Denis. Il n’était pas question de choisir la couleur directe pour faire joli. »
    La deuxième partie de Femme accident est sortie fin 2009.
    Il publie ensuite au Lombard, dans la collection Signé, le diptyque « La Douceur de l’Enfer », l’histoire d’un voyage entre San-Francisco et Pyongyong, un combat entre la parole et l’oubli. Une histoire de 180 pages réalisées comme auteur complet.
    Le tome2 est sorti en avril 2012.
    Octobre 2013 voit le retour de Niklos KODA avec « La Danse du Diable » et le début d’un nouveau cycle. C’est également à ce moment que choisi le CBBD pour fêter ses 25 ans de création, une belle expo rétrospective qui se tiendra au musée de la BD jusqu’au 19 janvier 2014. En avril 2014 sort « L’Océan » suivi en mars 2015 de « No Song ». Olivier Grenson s’associe à Philippe Decloux, Vincent Baudoux et Robert Nahum pour créer une nouvelle revue de récits graphiques: 64_page. Elle a pour but de mettre en avant des jeunes auteurs qui n’ont jamais publié.
    « Le Spiborg » sort en 2016, suivi en 2017 du 15é et dernier opus de la série: « Le denier masque ». Grenson travaille actuellement sur le 13é XIII Mystery scénarisé par Jean Van Hamme.

  • Griffo
  • Gros (Stanislas)
  • Grun
  • Guarnido (Juanjo)
  • Guénet (Nicolas)
  • Guéra (R.M.)
  • Guérineau (Richard)
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