Étiqueter :"Alchimie"

• 

  Stanislas de Guaita, l'homme derrière une bibliothèque mystique.

  Publié dans: Livres anciens

  Dans son appartement de l'avenue Trudaine, Stanislas de Guaita, discret mais passionné, rassemblait les fruits de ses recherches et ses intuitions dans une bibliothèque remarquable, dédiée aux livres occultes. Les ouvrages, qu’il avait méticuleusement choisis et classés, renfermaient les fruits de siècles d’intuition humaine, d'explorations alchimiques, kabbalistiques et magiques, des œuvres écrites à la plume de chercheurs avides de percer les mystères de l'univers.

  Lire la suite
• 

  Nathan d’Aubigné, fils d’Agrippa : une figure méconnue entre médecine et alchimie.

  Publié dans: Livres anciens

  Nathan d’Aubigné, aussi connu sous le nom de Sieur de La Fosse, fils naturel du célèbre Théodore Agrippa d’Aubigné, mérite une place de choix dans l’histoire des lettres et des sciences du XVIIe siècle. Souvent éclipsé par la renommée de son père, Nathan n’en reste pas moins un personnage fascinant, à la croisée de la médecine et des pratiques alchimiques, domaines qui se chevauchaient alors dans la quête de la compréhension des mystères de la nature.

  Lire la suite
• 

  Alchimie et métamorphose à la fin de la Renaissance.

  Publié dans: Livres anciens

  À la fin de la Renaissance, une période marquée par l'instabilité et le changement perpétuel, le désir de métamorphose, tant intérieure qu'extérieure, prend une place prépondérante dans les esprits. Ce désir, loin d'être une simple quête individuelle, se fond dans une vision baroque du monde où la transformation est une constante de la condition humaine. Dans ce contexte, la métamorphose devient un phénomène partagé entre la nature et les hommes, tous soumis à un "change" permanent et...

  Lire la suite
• 

  Littérature alchimique : exploration des marges et des savoirs.

  Publié dans: Livres anciens

  La littérature alchimique, s'étendant de 1550 à 1715, se distingue par son caractère singulier et marginalisé. En effet, cette période témoigne d'une dualité marquée entre une marginalisation subie, notamment sur les plans politique et social, et une marginalisation volontaire, choisie par les auteurs eux-mêmes par leurs modes d'écriture et leur volonté d'anonymat. Cette marginalisation, qu'elle soit imposée ou auto-infligée, devient un outil pour les alchimistes, leur permettant d'établir...

  Lire la suite