L'incroyable histoire de l'homme qui découvrit l'Atlantide!

Le nouveau roman de
Marc Meganck


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B

B

Sous-catégories

  • Bá (Gabriel)
  • Babonneau (Christophe)
  • Bachelier (Benjamin)
  • Bailly (Pierre)
  • Bajram (Denis)
  • Baker (Kyle)

    Kyle Baker (né en 1965 dans le Queens à New York) est un auteur de bande dessinée, dessinateur et animateur américain. Auteur célébré par la critique, il connaît le succès public dans les années 2000 avec sa reprise de Plastic Man.

  • Bara

    Issu d'une famille de diplomates, Guy Willems dit Bara voit le jour à Riga et mène une jeunesse marquée par de nombreux déplacements. Ses études à l’Institut Saint-Boniface d’Ixelles sont tumultueuses, mais il poursuit ensuite sa passion pour les beaux-arts à l’Académie de Bruxelles. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il lance le journal « Le Faune » avant de s'installer à Paris. En 1954, il crée le personnage de Max l’explorateur, qui connaîtra une diffusion mondiale grâce à l'agence de presse danoise PIB, sauf aux États-Unis. En 1968, il imagine la série Les Cro-Magnons pour le journal « Tintin ». Entre 1971 et 1973, il prend la direction du magazine « L’œuf » et participe à l’aventure, certes brève, du magazine de bande dessinée « Super As ». Vers la fin de sa vie, il se consacre entièrement à la peinture et décède à Carpentras, juste avant de fêter ses 80 ans.

  • Baranko (Igor)
  • Barbier (Alex)
  • Barbucci (Alessandro)
  • Barison (Emanuele)
  • Baron Brumaire
  • Barral (Nicolas)

    Nicolas Barral est né le 22 décembre 1966 à Paris. Après un Baccalauréat (philosophie et maths), il étudie pendant un an les arts plastiques puis intègre l'école d'Angoulême où il étudie sous la houlette de Robert Gigi. Il débute sa carrière de professionnel à OK Podium en se faisant les dents sur la réalisation des pages BD. Lors d'un concours de jeunes talents organisé par la FNAC, il est remarqué par Jean-Christophe Delpierre qui l'intègre à l'équipe de Fluide Glacial. C'est avec Christophe Gibelin, rencontré lors de son séjour angoumoisin, qu'il imagine l'ébauche de ce qui deviendra Les Ailes de Plomb, commencé en janvier 95. Ce fan de BD, qui se souvient de sa timidité devant les auteurs en pleine dédicace, ne cache pas ses affinités pour Tardi, qui lui a fait aimer les années 50, Giraud, Durand, mais aussi Uderzo et Morris. L'autre facette de l'auteur est son côté pince-sans-rire qui lui fait apprécier, entre autres, l'humour britannique. Aussi se sent-il tout heureux de travailler avec Pierre Veys sur des nouvelles qui mettent en scène Sherlock Holmes et ce bon Docteur Watson, révélés sous un jour bien surprenant ! Cette série a de plus bénéficié d'un prix attribué chaque année par la très sérieuse Société Sherlock Holmes de France, toujours attentive à ce qui se dit du célèbre détective...

  • Baru
  • Baruti (Barly)
  • Batem
  • Battaglia (Dino)

    Dino Battaglia (né le 1er août 1923 à Venise et mort le 4 octobre 1983 à Milan) est un auteur de bande dessinée italien. S’étant avant tout consacré aux adaptations d’œuvres littéraires (Poe, Rabelais, Stevenson, des contes, etc.), Battaglia a marqué, à partir de la fin des années 1970, nombre de dessinateurs italiens et français par sa capacité, dans ses travaux ambitieux, à rendre à merveille les atmosphères via un dessin précis et vaporeux tout en étant en permanence expérimental, des couleurs délicates, une mise en page inventive. Auteur d’une œuvre quantitativement imposante et très variée au-delà de ces célèbres adaptations (des hagiographies, des ouvrages didactiques, des séries de genres), il « figure parmi les artistes les plus importants de la bande dessinée transalpine ». Battaglia publie des bandes dessinées dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, dans le magazine Albo Uragano, Asso di picche, qu’il fonde avec d’autres dessinateurs. Ses premières publications (comme Jungleman, qu’il crée en 1948 et que reprend ensuite son ami Hugo Pratt) sont très marquées par l’influence de Milton Caniff). Dans les années 1950, il travaille pour L’Intrepido ou Il Vittorisio, et commence à trouver un style plus personnel. De 1950 à 1955, il dessine Pecos Bill sur des scénarios de Guido Martina, puis crée en 1955 El Kid, avec Giovanni Luigi Bonelli. À partir de 1962, il travaille au Corriere dei piccoli, dont il devient un des principaux illustrateurs. Il y crée entre 1964 et 1967 de nombreuses histoires, comme La Pista dei quattro, Cinque su Marte ou l’adaptation d’Ivanhoé de Walter Scott. Son entrée dans Linus, en 1968, marque un tournant dans son travail : ayant la possibilité de s’adresser uniquement aux adultes, Battaglia se tourne alors presque exclusivement vers les adaptations littéraires, « selon un mode narratif et graphique original, mêlant l’illustration et la bande dessinée », où l’expérimentation graphique et narrative est permanente. Ses premiers albums sont alors édités, à partir de 1972. Jusqu’à se mort, il adapte de nombreuses œuvres du patrimoine littéraire occidental, de Melville à Lovecraft en passant par Maupassant. Ces adaptations lui valent l’admiration de ses pairs et de la critique, en Italie comme en France. Parallèlement à cette veine d’inspiration littéraire, il écrit avec sa femme Laura des hagiographies catholiques publiées dans Il messagero dei ragazzi puis éditées en album par des éditeurs religieux, participe à des collections grands publics traduites dans plusieurs pays d’Europe, comme « Un Uomo et l’Avventura » (reprise par Dargaud et Mon journal), et à des ouvrages didactiques publiés d’abord en France comme L’Histoire de France en bande dessinée puis La Découverte du monde en bande dessinée.

  • Baudoin (Edmond)
  • Bazile (Bruno)

    Bruno Bazile est né à Saint-Nazaire en juin 1961. De nombreux personnages de BD, tels qu’Astérix, Blueberry et Gil Jourdan, vont alimenter son imagination jusqu’au jour où il décide de se lancer dans l’univers des bulles. La rencontre des dessinateurs Nazairiens, Magne et Danard, l’y encourage. Il commence par s’inscrire à la fac d’Arts Plastiques de Rennes. Là, il se fait tout petit dans un coin de l’atelier de J.-C. Fournier, fasciné. De 1985 à 1992, ses premières pages BD paraissent dans la presse jeunesse, de Mikado à Fripounet. Ce n’est que plus tard, en 1997, qu’il collabore avec Michel Plessix, pour « Les Forell ». Il réalisera en solo « Les Faussaires » en 2001. Puis avec Pierre Veys commence une longue collaboration : « Les Avatars » aux éditions Dargaud et « Arthur et Merlin » aux éditions Soleil en 2004.

  • Beaulieu (Jimmy)

    Né en 1974, à l'Île d'Orléans, Jimmy Beaulieu est d'abord et avant tout un type qui dessine. Il remplit des carnets de croquis à une cadence infernale. Il n'a aucune formation si ce n'est un cours de dessin en dilettante durant l'été 1989 avec Louise Lefebvre à Québec. « On n'enseigne pas le type de dessin qui m'intéresse » déclare Jimmy. « L'institution des arts plastiques enseigne plutôt une forme de littérature picturale et théâtrale qui n'a rien à voir avec ma discipline de dessin ». Toujours d'après lui: « Les écoles de dessin académique sont encore plus emmerdantes quoique plus enrichissantes en fin de compte ». Jimmy a plutôt fréquenté assidûment l'école du doute et de la remise en question. « Je la fréquenterai encore longtemps et c'est très bien comme ça ». Jimmy a fait ses premières bandes dessinées vers 1998, sous la pression d'Éric Asselin et Daniel Boulanger, à Québec. « J'ai eu énormément de difficultés à transposer mon dessin dans le cadre très rigide de la bande dessinée ». La technique paradoxale du crayonné/encré est un pur cauchemar pour lui. L'instinct et les erreurs sont les ingrédients essentiels de sa technique de dessin. « La bande dessinée exige un contrôle maniaque que je ne maîtrise que si la chance est de mon côté », dit-il. Il peut refaire cinquante fois la même case jusqu'à ce que la musique apparaisse. Progressivement, il découvre le plaisir de faire de la bande dessinée, de faire respirer des personnages, de camper une ambiance dans le temps. Il n'est pas un spécialiste de l'imaginaire et il croit que la plus belle fiction, nous la vivons chaque jour. Il ne voit pas le scénario comme la base ultime de l'œuvre. Selon lui, la philosophie, la poésie et la force d'une bande dessinée se trouve dans la manière de raconter l'histoire. Si le dessin, les dialogues, le rythme, la mise en scène et les masses de noir, de blanc et de couleurs n'expriment pas le fond de l'œuvre, l'histoire ne vaut absolument rien. Il a choisi de raconter des histoires simples pour méduser les lecteurs qui ne lisent que la surface d'un livre. Son travail avec des scénaristes (Marc Tessier, Sébastien Trahan) s'inscrit parfaitement dans cette ligne de pensée tout en structurant différemment son travail, ce qui est un vrai trésor. En 1998 et 99, Jimmy s'est impliqué dans la création des Éditions de la Pastèque, de la revue Spoutnik, et du F-52 (librairie/galerie) avec Martin Brault, Fred Gauthier et Jean-Pierre Moreau. Œuvre autobiographique – genre qu’il exploitera souvent , son premier album, Quelques pelures, paraît en 2000, publié par F-52. Il a abandonné peu à peu ces projets pour travailler avec Sébastien Trahan sur un projet d’album qui n’a pas encore vu le jour. Mais, toujours avec Trahan, il s’associe à quatre autres dessinateur (Luc Giard, Benoît Joly, Éric Asselin et Philippe Girard) pour fonder les éditions Mécanique Générale. Le premier album à paraître chez Mécanique générale est une réédition de Quelques pelures dont le tirage initial a été rapidement épuisé. Puis, en 2001, paraît un recueil collectif « Avons-nous les bon pneus ? ». Peu de temps après, Mécanique générale est rachetée par les édition Mille-îles (Les 400 coups) et Jimmy Beaulieu en devient le directeur de collection. Au cours des cinq années suivantes, les albums des membres de l’écurie sortent à un rythme régulier. Jimmy fait paraître Résine de synthèse (2002), -22o C (2003) et Le moral des troupes (2004) tout en participant aux collectifs Service au volant (2001) et Le pitcheur pense à sa blonde, douda, douda (2002). Parallèlement, les membres de l’écurie lancent également une collection de petits albums fanzines « Colosse ». En 2006, la maison d’édition ouvre ses portes à de nouveaux collaborateurs. Douze albums sortiront au cours de cette cinquième année d’existence dont Ma voisine en maillot et Quelques pelures, réédition très, très augmentée par Jimmy. En 2006, il collabore avec Jean-Louis Tripp et Régis Loisel sur la série Magasin général aux éditions Casterman. Il réécrit les dialogues des deux auteurs d’origine française de façon qu’ils « sonnent » québécois tout en étant compréhensibles pour les lecteurs européens. De juillet 2004 à février 2005, Jimmy Beaulieu a été accueilli en résidence à la « Maison des auteurs » d'Angoulême. Projet domiciliaire, le journal de voyage qu’il en a tiré, est diffusé hebdomadairement en ligne. Il a également illustré quelques livres jeunesse d’Anne Langlois aux éditions de La courte échelle : L’évasion d’Alfred le dindon (2004), La chorale des petits cochons (2005), La sculpture de Nestor l'alligator (2007). Très impliqué dans la promotion de la bande dessinée, Jimmy a été libraire (chez Pantoute à Québec, puis chez Fichtre! et Archambault à Montréal), chroniqueur (à la revue Noirs Dessins de Rimouski, sur le site de l’émission Bande à part et à l’émission radiophonique Indicatif présent de Radio-Canada), commissaire d’expositions (Plan cartésien) et enseignant. Depuis 2004, il anime des ateliers de BD au cégep du Vieux-Montréal. Il milite activement pour l'émergence d'une bande dessinée plus libre et centrée sur l'expression personnelle tout en restant accessible.

  • Beautemps (André)
  • Bec (Christophe)
  • Bédu
  • Begon (Maud)

    Maud est née et a grandi à Toulouse, avant de quitter la ville rose à 18 ans pour faire ses études à Paris. Elle étudie le graphisme à l’école Olivier de Serres, et, pendant son temps libre, crée son blog BD, qui est repéré par les éditions Manolosanctis. Elle participe aux albums Phantasmes et 13m28, avant de publier son premier livre, intitulé Antigone, en 2010. Trois ans plus tard, elle signe Je n’ai jamais connu la guerre, chez Casterman, sur un scénario de Joseph Safieddine. Elle participe, en parallèle, à la bande dessinée numérique Les Autres gens, puis lance la série ésotérique Bouche d’ombre, aux côtés de Carole Martinez.

  • Béhé
  • Beker (Léo)
  • Bellamy (Frank)
  • Bendis (Brian Michael)

    Née à Cleveland, Ohio. Les critiques ont commencé à dire beaucoup de bien de cet artiste complet qu’est Brian Michael Bendis (il est à la fois scénariste et dessinateur) après la publication de Torso - un trade paperback dédié à la vie du célèbre inspecteur américain Elliott Ness qui lui a valu un Eisner Award. Passionné par tous les aspects de la fiction policière, Bendis a écrit et mis en images d’autres maxi-séries dont Goldfish, Fire ou Jinx, toutes publiées dans la ligne “alternative” d’Image Comics. Cinéphile averti, Bendis a révélé tous les secrets des coulisses d'Hollywood dans le très caustique Fortune & Glory édité chez Oni Press. Il y décrit son expérience personnelle et ses vaines tentatives pour adapter un de ses comic-books à l’écran, dans un film qui n’a jamais vu le jour à cause d’innombrables problèmes de production. Plus récemment, Bendis a transposé l’ambiance glauque et urbaine qui lui est chère dans l’univers coloré des super-héros, en travaillant tout d’abord avec Todd McFarlane sur les séries Hellspawn et Sam & Twitch. Il a fait ses débuts dans le “monde Marvel” grâce à son ami Joe Quesada qui lui a proposé d’écrire plusieurs épisodes de Daredevil et la mini-série Daredevil: Ninja. Puis, Bendis le prolifique a signé les scénarios d'Ultimate Spider-Man et Ultimate Marvel Team-Up, il a relancé Elektra en réalisant les six premiers numéros de sa série régulière et inauguré la ligne Marvel “pour lecteurs avertis” MAX avec Alias, avant de devenir le scénariste attitré de Daredevil. Et comme si cela ne suffisait pas, il écrit aussi sa propre série, Powers, illustrée par Mike Oeming.

  • Bengal

    Bengal est né en 1976 dans les Alpes, près de Grenoble. Il vit aujourd'hui à Rueil-Malmaison, en banlieue parisienne. Il découvre la bande dessinée grâce à son père et grandit avec des séries comme Les Tuniques Bleues, Jérémiah, Le Scrameustache, Martin Milan, Bernard Prince... Fan de mangas et de BD européenne, Bengal a toujours voulu être auteur-illustrateur, mais a d'abord été designer pendant quatre ans chez Darkworks, un studio de développement de jeux vidéo.

  • Benn (André)
  • Benoit (Ted)
  • Berbérian (Charles)
  • Berck
  • Bercovici (Philippe)
  • Berdouel (Fabien)

    Fabien Bedouel est un dessinateur au style très affirmé et puissant qui a été révélé au grand public avec deux albums très réussis publiés chez 12 bis, l’Or et le Sang réalisé avec Merwan, Maurin Defrance et Fabien Nury en août 2009 et Un Long Destin de sang avec Laurent-Frédéric Bollée en avril 2010. Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD) en 2003, option animation, Fabien Bedouel débute dans la vie active comme story-boarder dans la publicité et la télévision. En outre, il réalise plusieurs films d’animation dont cette première évocation de 1916 réalisée aux Arts Décoratifs et primée dans de nombreux festivals comme Annecy, Hiroshima, Téhéran, Tokyo ou Valence…, ou encore Howitzer, un film promo pour l'agence Great Society. Il collabore au film d’animation Clichés de soirée de Merwan Chabane visible sur le site d’Arte : www.arte.tv. Ensemble ils mettent en images la nouvelle série d’aventures qui démarre au cours de la Première Guerre mondiale et va s’élancer à la conquête de l’Afrique du Nord, à savoir l’Or et le Sang dont le T.2 vient d’être terminé et devrait se retrouver en librairie à la rentrée. Parallèlement, il se lance seul sur un diptyque écrit sur mesure par Laurent-Frédéric Bollée, un thriller encore durant la Grande Guerre.

  • Bergèse (Françis)
  • Berlion (Olivier)
  • Bernabé (Anaïs)

    Diplômée de l’école Émile Cohl de Lyon, Anaïs Bernabé a travaillé pour Ubisoft pendant 2 ans comme character designer sur la licence Assassin's Creed multiplayer. Elle a également illustré le livre pour enfants Tu vois la lune sur un texte d'Agnès de Lestrade. En plus de la suite de Sasmira, elle travaille sur La Pluie des corps, une BD qui paraitra en janvier 2017. Elle est également peintre et sculpteur à ses heures...

  • Bernet (Jordi)
  • Berr (Nathalie)
  • Berthet (Philippe)
  • Bertrand (Philippe)
  • Bertschy (Christophe)
  • Bérubé (Jean-Sébastien)

    Jean-Sébastien Bérubé est originaire de Rimouski au Québec. Son talent est découvert et récompensé au concours BD Hachette 2008 et c'est Glénat Québec qui publie sa première nouvelle dans Contes et Légendes du Québec en janvier 2009.

  • Bess (Georges)
  • Beuchot (Raphaël)

    Né en 1980, habite à Nantes, et fait de la bande dessinée depuis ses vingt ans. Ce qu'il aime dans la bande dessinée : les découpages clair et lisibles, comme Tardi, Otomo, Gipi, Oebus, ou encore Goossens. Ses principales influences sont les univers parallèles de Fred et Schuiten/Peeters, les travaux de Gaultier, Bachelier, Springer, et Hergé.

  • Beuriot (Jean-Michel)
  • Biancarelli (Franck)

    Né le 1er septembre 1967. Cet ancien professeur de mathématiques est entré dans l’univers de la BD par passion pour le 9ème art. Il travaille d’abord avec Jean-Charles Gaudin sur la série Galfalek. En mars 2004, paraît le premier tome de sa nouvelle série Le livre des Destins sur le scénario Le Tendre. En 2006 et 2008, il participe aux collectifs Paroles de Poilus et Paroles d’Étoiles. Ses influences s’orientent essentiellement vers des auteurs américains : Alex Toth, Noel Sieckels, Milton Caniff, John Buscema, Neal Adams, Joe Kuber ; mais aussi Goossens, Giraud, Durand. Enfin, Rossi, Kane et Garcia-Lopez sont les trois artistes qui occupent une position toute particulière dans son cœur.

  • Bidot (Laurent)
  • Bignon (Alain)
  • Bihel (Frédéric)
  • Bilal (Enki)
  • Bill
  • Binet (Christian)
  • Bingono (Brice)
  • Blain (Christophe)
  • Blanc-Dumont (Michel)

    Michel Blanc-Dumont est né à Saint-Amand-Montrond dans le Berry, où son père était sculpteur-céramiste. Très jeune sa passion du dessin se révèle. Après des études générales, il entre rapidement à l'Ecole des Arts Appliqués où il devient un des meilleurs élèves. Il y reçoit une culture artistique et une formation graphique très complète qui l'entraineront vers l'illustration puis la bande dessinée. À la fin de ses études, Blanc-Dumont travaille pendant 3 ans avec son père qui est alors le meilleur restaurateur d'objets d'art et de tableaux de Paris. Parallèlement, il commence à réaliser ses premières BD ainsi que des dessins humoristiques. En même temps se développe chez lui un intérêt qui ne se démentira pas pour l'histoire de l'Ouest américain et la civilisation des Indiens des Plaines. À cette période commence également son goût pour les chevaux et l'équitation qui fera de lui un cavalier passionné et perfectionniste. Ses premières BD paraîtront dans "Phenix" en 1973, puis dans "Jeunes Années" où il dessine plusieurs légendes Indiennes, ainsi que des posters. En 1974, il crée, sur des scénarios de Laurence Harlé, la série Jonathan Cartland prépubliée d'abord dans "Lucky Luke Magazine" puis dans « Pilote » à partir de 1977. En dix albums la collection Jonathan Cartland s'est imposée comme une des meilleures séries actuelles. Révolutionnant un genre que l'on croyait figé dans ses traditions comme dans ses parodies (à l'Italienne), Blanc-Dumont et sa scénariste ont su donner au western une nouvelle dimension et une véritable autre respiration en privilégiant une volonté de vérité, d'émotion et de lyrisme. Le dessin puissant et perfectionniste de Blanc-Dumont et l'écriture intense de Harlé mettent particulièrement en valeur leurs goûts pour les décors grandioses, les personnages hors du commun et un certain penchant pour le fantastique. Parallèlement, Blanc-Dumont réalise deux autres ouvrages qu'apprécient les amateurs de dessins "forts" : Courts Métrages qui rassemble 13 ans de récits courts, et L'Univers de Blanc Dumont qui nous montre également son grand talent d'illustrateur et d'affichiste. Janvier 88, il reçoit, lors du 15e Salon International de la Bande Dessinée d'Angoulême "L'Alfred du Meilleur Album de l'année" avec Les Survivants de l'Ombre (scénario de Harlé). En 90, il décide d'aborder un genre différent, le polar. Et pour cette nouvelle série, c'est une véritable légende de la bande dessinée, Michel Greg, l'un des plus grands scénaristes, qui lui écrit les aventures de Colby : des histoires sur mesure pour Blanc-Dumont où celui-ci excelle pour reconstituer l'univers de l'Amérique des années 40. En 1997, Jean Giraud et François Corteggiani, digne héritier de Jean-Michel Charlier, lui proposent de reprendre la série "La Jeunesse de Blueberry". Il accepte avec enthousiasme et y apporte le souci de donner encore plus d'authenticité sur cette époque de la guerre de Sécession.

  • Bleda (Sergio)

    Né à Alabacète (Espagne) en 1974, il commence sa carrière par des dessins humoristiques publiés en 1993 dans un hebdomadaire régional. Puis il est nominé comme auteur révélation au Salon International del Comic de Barcelone en 1997 suite à la création de quatre “comic-books” aux éditions Planeta. Il dessine ensuite "The Prisoner" et "L’Vamp" publiés en 2000, puis s’essaie à l’adaptation en BD des chansons d’Alan Moore avec "Magical Mistery Moor" qui a été l’un des 10 graphic novels les plus vendus en octobre 2002 aux États-Unis. Véritable touche-à-tout, il réalise des travaux d’illustration, de publicité, des couvertures de livre... il dessine même des storyboards de films tels que "Son de mar" de Bigas Luna ou "Nos somos nadie" de Jordi Mollà. Après "Bloody Winter", et "Dors, petite fille", publiées par Erko, il se lance dans la série "Dolls Killer" chez Soleil.

  • Blesteau (Albert)

    Né le 8 juin 1950 à Rennes, Albert Blesteau travaille comme décorateur de 1966 à 1976. Il fait partie de ces nombreux jeunes Bretons auxquels Jean-Claude Fournier a prodigué ses conseils. On ne s'étonnera donc pas de voir le père de "Bizu" amicalement caricaturé dans sa première "Carte Blanche" pour le journal de Spirou, en 1973. Blesteau monte à Bruxelles, où il crée sa propre série de gags, "Wofi", en 1976, et collabore au studio Peyo. Après quelques travaux secondaires sur les Schtroumpfs, il est dirigé vers la reprise de "Benoît Brisefer". Il en réalise d'abord une première histoire complète d'essai, puis le septième grand épisode de la saga de ce petit garçon très, très fort lorsqu'il n'est pas enrhumé ("Le Fétiche", en 1978). Gardant la nostalgie de sa Bretagne, il y retourne en 1982. L'univers de l'astucieux chien blanc "Wofi" s'est entre-temps développé et il lui consacre plusieurs grands récits d'aventures humoristiques, publiés en albums par Dupuis. Devenu essentiellement scénariste, le dessinateur Christian Godard lui propose de développer un bambin dont il a réalisé, vingt ans auparavant, un unique récit complet pour un numéro spécial ("La Naissance de Toupet"). Blesteau est séduit par le projet et développe un graphisme tout en rondeur et en gentillesse pour donner vie à la famille entourant la petite terreur. Un nouveau "couple" d'auteurs est ainsi formé, un peu par hasard. "Toupet" s'inscrit désormais, depuis 1989, parmi les grandes BD familiales franco-belges.

  • Blutch

    Blutch est né à Strasbourg le 27 décembre 1967. Après les Arts déco, il débute dans Fluide Glacial avec la ferme intention de ne pas en rester là. Il glisse ses premiers péchés de jeunesse dans Fluide Glacial, et y fait ses armes avec Waldo's Bar et Blotch. En parallèle, il multiplie les expériences narratives à l'Association et chez Cornélius. Avec Péplum, Blutch s'essaie à l'adaptation très libre du Satiricon de Pétrone, chef-d'oeuvre antique de la littérature homosexuelle. Cet album marque un véritable tournant dans le parcours de Blutch tant son style véritablement expressionniste colle au réalisme parfois dérangeant de nos sociétés contemporaines. Dans Vitesse moderne, il aborde sous une forme semi-onirique les fantasmes de ses semblables avec un brin de cynisme. Son humour corrosif, travaillé à l'école des éditions Audie s'accorde parfaitement à celui des duettistes Sfar/Trondheim, scénaristes de la série-fleuve Donjon. Avec Mon fils le tueur, Blutch signe un album à l'égal des cafés de ses premiers dessins : noir, serré et saupoudré d'un zeste de folie douce !

  • Bobillo (Juan)
  • Bodart (Denis)

    Denis Bodart, né en Belgique en 1962, débute dans la BD en 1985. Il s'associe avec Yann en 1988 avec « Célestin Speculoos » chez Glénat, qui est depuis réédité chez Vents d'Ouest, « Nicotine Goudron » pour l'Echo des Savanes / Albin Michel et un volume de « Chaminou » pour Marsu Productions. En 1994, il crée la série « Les Aberrants » avec Lamquet pour les Editions Lefrancq, tout en dessinant pour « Spirou ». Il a également participé aux collectifs « Sales Petits Contes » chez Dupuis, où le même Yann parodiait les contes d'Andersen.

  • Boidin (Marc-Antoine)

    Marc-Antoine Boidin est né le 25 juillet 1974 à Arras dans le Pas-de-Calais. Après une scolarité sage et discrète, il finit par décrocher, avec soulagement, son baccalauréat F12 (option Arts appliqués) en 1992. C’est lors de sa première année de BTS (expression visuelle) à Roubaix qu’il rencontre Lionel Chouin. Etudiant comme lui, ils créent ensemble un fanzine au numéro unique en 1993. La structure trop scolaire du BTS, les absences répétées aux cours et le goût pour la musique celtique le poussent à changer de formation et de région. Il part pour les Beaux-Arts de Quimper. En 1995, après une année de fête et d’angoisse existentielle mais très peu de dessin, il envoie in extremis son dossier pour l’école de BD d’Angoulême. Coup de chance, il est pris. Début des hostilités, le voilà dans le monde des bulles… création d’ateliers de BD en 1996 et 1998 avec d’autres étudiants et amis. La même année, il obtient son diplôme de BD et fait un bref passage par le dessin animé. Sa première série « Kérioth » voit le jour entre 1999 et 2000 en collaboration avec Pascal Bertho ; le troisième tome sera publié chez Vents d’Ouest en 2004. La même année, sa rencontre avec Jean-Luc Istin et François Debois se matérialise par la sortie d’un nouvel album en avril 2004, « Les Contes de Brocéliande » aux éditions Soleil.

  • Boilet (Frédéric)
  • Boiscommun (Olivier)

    Olivier Boiscommun est né le 19 mars 1971 à Neuilly-sur-Seine. Ses premiers contacts avec la BD se nomment Astérix et Obélix, il a alors une dizaine d'année. À vingt ans, ce sont Bilal et Loisel qui lui donnent ses réelles envies de dessiner. Fermement décidé à vivre de ses crayons, il intègre le lycée d'Arts Graphiques de Corvisart à Paris dont il apprécie énormément l'enseignement. Puis, il travaille dans le stylisme et réalise des motifs de tissu pour des vêtements et crée des maillots de bain. 

    Cependant, en 1993-94, il rejoint l'école des Beaux Arts d'Angoulême et ses aptitudes lui permettent de rentrer immédiatement en seconde année. 

    Il réalise en 1994 une histoire de 5 pages pour le recueil des Enfants du Nil ainsi que la couverture, puis un petit album en noir et blanc pour les éditions du Cycliste. Il collabore à la réalisation d'un dessin animé Bamboo Bears pour la société Story. Les Éditions Delcourt lui proposent alors de travailler avec Joann Sfar et Jean David Morvan pour créer la série Troll. Ses influences graphiques viennent de la BD : Claire Wendling, Cromwell, Qwak, l'américain Mignola mais aussi du dessin animé, Walt Disney en tête.

  • Bonhomme (Matthieu)

    Matthieu Bonhomme est né en 1973 en France. Son premier album sort en 2002, Victor & Anaïs, chez Carabas, sur un scénario de Jean-Michel Darlot. Il commence à mettre au point avec Fabien Vehlmann, Le Marquis d’Anaon. Avec le premier tome de Le voyage d’Esteban, il remporte à Angoulême en 2003, le Prix du premier album.

  • Bonin (Cyril)

    Né le 16 mai 1969 en Saône-et-Loire, Cyril Bonin suit les cours des Beaux-Arts de Mâcon, puis étudie les Arts décoratifs à Strasbourg avant de finaliser par une année de DESS en images de synthèse. Il travaille pendant deux ans dans une petite maison de production vidéo, tout en réalisant des illustrations. Son entrée en bandes dessinées s'effectue chez Casterman ou, de 1999 à 2004, il illustre les six volumes de "Fog" sur scénarios de Reiner ("Le Tumulus", "Le Destin de Jane", "Le Mangeur d'âmes", "Les Sables du temps", "La Mémoire volée", "Remember"). On y découvre le Londres de 1874 et une série de crimes effroyables qui annoncent le futur Jack the Ripper. Son dessin élégant et précis s'applique à merveille au récit d'ouverture de la série "Quintett", scénarisée par Frank Giroud : "L'Histoire de Dora Mars", dans la collection Empreinte(s) des éditions Dupuis. L'ensemble des ouvrages, illustrés par six dessinateurs différents, reconstitue une courte période vécue par une unité française envoyée dans les Balkans en 1917 et où chaque tome s'axe sur un personnage différent, placé au coeur de ce fragment d'épopée vécue au quotidien.

  • Bonnet (Franck)

    Franck Bonnet est un auteur complet qui a toujours voulu faire de la bande dessinée « pour raconter des histoires ». Depuis quinze ans, il exerce son métier à temps plein dans des genres différents, de la BD historique à l’héroïc- fantasy, et s’est lancé avec gourmandise dans une série les Pirates de Barataria écrite sur mesure par Marc Bourgne. Après des études de dessin en génie civil, Franck Bonnet intègre un cabinet d’architecture. Comme Jean-Yves Delitte, il y gagne de la rapidité et la précision dans son dessin. Passionné par la BD, il crée à Troyes une association qui édite un fanzine, sa vraie école de la BD. Il obtient le 1er prix au Festival de BD de Grenoble. En 1994, les éditions Dargaud lui offrent de démarrer sa 1ère série Vanity Benz sur un scénario de Didier Van Cauwelaert (4 tomes). Il continue pourtant chez Glénat grâce à Jean-Yves Mitton qui lui propose de dessiner une série historique Attila... mon amour en 6 tomes. Il participe ensuite à une Folie très ordinaire, un projet collectif en 4 épisodes écrit par Christian Godard avec Christian Rossi, Alain Mounier, Philippe Jarbinet et Emmanuel Moynot. En 2004, il se lance dans un projet plus personnel Vell’a en 3 tomes avec Marc Bourgne. En 2006, Jean-Claude Bartoll lui propose de dessiner une série contemporaine T.N.O. qu’il a arrêté au terme du T.3 paru en 2008. Il allie en effet son autre passion pour les maquettes de beaux navires du 18e siècle en dessinant une nouvelle série de pirates et d’espionnage, les Pirates de Barataria, sur un scénario de Marc Bourgne et dont le premier tome est paru en juin chez Glénat. Avec un style réaliste avec un goût prononcé pour les noirs, Franck Bonnet est un dessinateur bourré de talents qui ne cesse de progresser. (Auracan)

  • Bordier (Jean-Paul)
  • Boubé (Christian)

    Christian Boubé est né en 1955. Dès sa plus tendre enfance, il dessine des petits Mickey dans les marges de ses cahiers d’écolier. Pas très motivé par les études, il choisit de poursuivre son chemin côté dessin et rentre aux Beaux-Arts de Tarbes et Toulouse où il passera cinq années. Ces débuts dans le monde de la bande dessinée se matérialisent dans la presse et autres revues mensuelles (BD, moto, wind-surf, érotique, etc.). Il fait également un passage par le dessin animé au studio Gingle d’Angoulême. Il est illustrateur à plusieurs reprises pour Atlas et sort plusieurs albums de BD dans des styles différents « Sœur Marie-Thérèse d’Alby » chez SORG, plutôt érotique. Mais aussi des albums philosophiques « Aristote-Descartes » chez BD LYS et pour finir « L’empereur du dernier jour » avec Cothias chez Glénat. En 2004, il reprend la suite de la série "L’Épée de Cristal", créé par Crisse et Goupil.

  • Boucq (François)

    François Boucq (né en 1955) débute à la revue Mormoil avant Pilote et Fluide glacial. Il dessine des couvertures de San-Antonio. Avec Charyn au scénario, il dessine La femme du magicien. Avec Jodorowsky : Face de Lune, Le Trésor de l'ombre et Bouncer. Avec Sente : Le Janitor. En 2007, il reçoit le Prix Albert-Uderzo pour l'ensemble de son œuvre.

  • Boudoiron (Arnaud)

    Arnaud Boudoiron est un autodidacte né en 1974, sévissant en presse, édition, agence de communication, publicité et la BD. Arnaud Boudoiron est un illustrateur de talent qui appartient à un collectif "Quasart.com", qui présente l'art sous toutes ses formes.

  • Bourgeon (François)

    François Bourgeon est né à Paris le 5 juillet 1945. Gamin, il lit Spirou, Tintin, mais n'est pas spécialement un fan de bandes dessinées. Après des études classiques, il intègre l'école des Métiers d'Art à Paris. Il y apprend l'art du vitrail et obtient son diplôme de maître verrier. Il tente sa chance dans la profession mais se retrouve rapidement au chômage. Son autre passion étant le dessin, il arrive à placer des illustrations dans "Lisette et Nade". Il y rencontre Claude Lacroix avant d'y faire paraître, en 1972, sa première BD, "L'ennemi vient de la mer". En 1973, "Lisette" s'arrête. François Bourgeon pige alors pour différents journaux : "Pif Gadget", "Fripounet" et "Djin" dans lequel il dessine, en 1976 "Brunelle et Colin" sur un scénario de Robert Genin. En 1978, il publie avec "Maître Guillaume" son premier album. Passionné de maquettes, il entreprend la construction d'une frégate du XVIIIe siècle. C'est le déclic. L'idée lui vient de raconter une histoire qui se déroule dans un bateau. En 1979, débute, dans "Circus", "La Fille sous la dunette", le 1er épisode des "Passagers du Vent". Le succès est immédiat et l'album est couronné en 1980 au Festival BD d'Angoulême. Chaque nouvel épisode (il y en aura cinq) est attendu avec impatience par un public qui va bien au-delà des fans habituels de bande dessinée. Les lecteurs découvrent un conteur authentique qui s'appuie sur un dessin lumineux et une documentation à rendre jaloux plus d'un historien. Un grand auteur de bande dessinée est né. Ses livres sont une éternelle invitation au voyage dans l'espace et le temps. Pas question pour autant de décliner "Les Passagers du Vent" dans une série interminable. François Bourgeon, qui entre-temps a quitté Paris pour venir poser sa planche à dessins en Bretagne, n'aime pas s'ennuyer en dessinant, même si cela doit dérouter certains de ses lecteurs. Il change d'époque avec "Les Compagnons du Crépuscule". Cette série, qui comprend trois albums, dont le somptueux et si personnel "Dernier Chant des Malaterre", se déroule au Moyen Âge, une période où il est parfois difficile d'établir la frontière entre le rêve et la réalité. Le succès est encore au rendez-vous. Cela n'empêche pas, une nouvelle fois, François Bourgeon de prendre un virage à 180º. En 1993, il débute avec son ami Claude Lacroix un récit d'anticipation à nul autre pareil. Il s'agit du "Cycle de Cyann", dont le nouvel épisode "Les Couleurs de Marcade" vient de paraître chez Vents d'Ouest. Toute la documentation est à inventer... puisqu'elle n'existe pas. Commence alors un étonnant travail de recherche sur la mystérieuse planète Ohl. Ses habitants, leurs vêtements, l'architecture, les engins volants, les objets, la faune, la flore, le langage, la cuisine... tout est passé au tamis de l'imagination. Une démarche indispensable car, comme se plaît à le souligner François Bourgeon : " Pour piéger les lecteurs, il faut se piéger soi-même." Opération réussie ! Les lecteurs en question lui décerneront trois fois le prix du public à Angoulême. Un record !

  • Bourgeron (Franck)

    Franck Bourgeron est né en 1963. Après l'Ecole d'Animation des Gobelins, il travaille en tant que story-boarder pour de nombreuses séries de dessins animés, puis, de 1995 à 2002, il passe à la Réalisation et à la Direction Artistique pour des sociétés de productions audiovisuelles (Ellipse, Dupuis). À ce titre il « anime » le passage au petit écran de FANTÔMETTE (Editions Hachette) et de CÉDRIC (Editions Dupuis), deux séries animés à succès et diffusées sur France 3. En 2003, il dessine sa première BD : « Extrême-Orient » qui a pour thème l'une de ses passions, la Chine.

  • Bourgier (Eric)
  • Bourgne (Marc)

    Marc Bourgne est né à Versailles le 11 mars 1967. Le Grand Nord américain en général, et l'Alaska en particulier, lui fournissent le décor de plusieurs de ses œuvres : les séries Etre libre / Dernière Frontière et Frank Lincoln. L'Alaska était également le sujet de la maîtrise d'histoire qu'il obtint à la Sorbonne en 1989. Il est l'auteur d'albums aux thèmes historiques, Histoire de Monaco (1997) et Charles 1er l'Empereur de la Paix (2007), ainsi que de nombreuses BD publicitaires (pour Michelin, la Générale des eaux, Groupware, Wafabank, Ipsen, Carrier-Transicold, Les Gentlemen du Déménagement, etc...). Il a été illustrateur pour la Bibliothèque Verte (couvertures de la série Planète Verte) et pour la collection "Z'azimut" (36 premiers volumes chez Fleurus). Après avoir dessiné quatre tomes de Barbe-Rouge (Dargaud) sur des scénarii de Christian Perrissin, il reprend le dessin de Voyageur (Glénat) pour les quatre albums du cycle "Présent" de la série écrite par Eric Stalner et Pierre Boisserie. Il écrit des scénarii pour VoRo (L'été 63 chez Vents d’Ouest), Marcel Uderzo (Le Dernier des Mohicans d'après J. F. Cooper, à paraître chez Adonis) et Franck Bonnet (Les Pirates de Barataria chez Glénat).

  • Bourgouin (Mickaël)

    Mickaël Bourgoin est né à Lyon en 1982. Après avoir étudié le dessin à l'école Emile Cohl, il obtient son diplôme en 2004 et, quelques mois plus tard, il est contacté par Thierry Gloris qui lui propose le scénario de Codex Angélique. Le projet lui plait immédiatement, en particulier l'importance accordée à la psychologie des personnages. Les jeunes auteurs s'attellent immédiatement à la tâche et, le dossier monté, ils le présentent aux Editions Delcourt, avec qui ils signent leur premier contrat. Les inspirations de Mickaël proviennent essentiellement de l'école américaine avec des auteurs indépendants tels que Bill Sienkiewicz, Mike Mignola ou Dave Mac Kean. Phil Hale, Ashley Wood ou Alberto Breccia l'ont profondément marqués de par leur audace dans les expérimentations graphiques et narratives, enfin il admire la peinture de Géricault, Klimt, Schiele ou Michelange. Le Codex Angélique est sa première parution, Mickaël concentre actuellement tous ses efforts sur la parution du deuxième tome du Codex, tout en jetant sur le papier de multiples idées dans l'idée d'élaborer un scénario complet.

  • Bourhis (Hervé)
  • Bouzard (Guillaume)

    Né en 1968 à Paris, Guillaume Bouzard apprend très tôt à singer ses professeurs dans les marges de ses cahiers, puis dans son propre fanzine Caca bémol où, dès 1986, il assassinera joyeusement le bon goût. Aux beaux-arts de Toulouse, en 1989, il rencontre son comparse Pierre Druilhe avec qui il commettra plus tard Les Pauvres types de l'espace. Son renvoi de l’École, pour cause de "Bande dessinée", ne fera que le conforter dans la voie qu'il s'est jusque-là tracé. Depuis la fin des années 80, multipliant les expériences graphiques et narratives en collaborant à de nombreuses publications indépendantes, il se révèle comme l’un des piliers du fanzinat et une valeur montante de la Bande dessinée. Son humour singulier, qu’il pousse jusqu’à un crétinisme confondant, son don de dialoguiste allié à un trait vif et inventif font de lui l’un des auteurs les plus attachants de la nouvelle génération. Apportant à l’humour en Bande dessinée un ton et une fraîcheur savoureuse, puisés tant dans le Comix underground que dans les Pifou Poche de notre enfance. En 1998, il est nominé avec Plageman pour le Prix Coup de coeur du Festival international de la Bande dessinée d’Angoulême. Une nouvelle fois, il échoue au pied du podium. Se retirant à la campagne, dans une Fuie à l’abandon, pour méditer devant l’incompréhension des pachydermes de l’édition et d’un public obnubilé par le cartonné / couleurs / 48 pages, Guillaume Bouzard achète un gros tracteur rouge et plante haricots verts, courgettes et tomates près du petit cours d’eau qui jouxte la Fuie. Il les savoure, le soir, près de l’âtre, en compagnie de son aimée, ses enfants et ses chats, chiens, chouette et escargots.

  • Brahy (Luc)
  • Brass (Nadine)

    Nadine Brass-Van der Straeten dessine depuis vingt ans. Si son coeur balance entre l’illustration et la bande dessinée, elle aime avant tout raconter des histoires du bout de son crayon. Depuis ses études à Strasbourg sous la houlette de Claude Lapointe, elle collabore étroitement avec de nombreux magazines et éditeurs pour la jeunesse. Elle réalise également des pochettes de disques et ne déteste pas écrire quelques chansons.

  • Bravo (Emile)
  • Brecht (Daniel)

    Dessinateur né en 1958, Daniel Brecht a travaillé dans la communication d'entreprise, puis a été remar­qué par Christophe Bec : c'est avec lui qu'il a publié sa première BD chez Casterman, Death Mountains (2 tomes).

  • Bretécher (Claire)

    Claire Bretécher est une dessinatrice et une scénariste de bandes dessinées française. Elle débute dans la bande dessinée avec une collaboration avec René Goscinny en 1963. Sa carrière prend son envol quand elle travaille pour Tintin de 1965 à 1966. En 1969, elle collabore au journal Pilote avec son personnage “Cellulite”. Dans cette série, elle y stigmatise les excès du féminisme tout en défendant la cause des femmes. De 1969 à 1971, elle s’impose ensuite au journal Spirou par des satires de ses contemporaines (“Salades de saisons”). En 1972, elle crée avec Marcel Gotlib et Mandryka l'Écho des savanes. Collaborant aussi au mensuel écologique Le Sauvage à partir de 1973, elle entre au Nouvel Observateur la même année avec sa série Les Frustrés (15 octobre 1973), intégrée dans la rubrique sociétale “Notre Epoque”. Elle obtient le Prix du scénariste français au festival d'Angoulême en 1996 et l'Alph-Art humour au festival d'Angoulême pour "Agrippine et l'ancêtre" en 1999. Ces dernières années, elle s'est surtout consacrée à la peinture. 

  • Brichau (Frank)
  • Brüno

    Brüno Thielleux est né en Allemagne en 1975.

  • Buchet (Philippe)

    Philipe Buchet abandonne ses études au lycée pour travailler à Paris comme dessinateur sur vitrines et pour le cinéma ; il s'installe ensuite à Reims où il exerce en indépendant pour des entreprises de communication. Il devient directeur artistique pour une société produisant des supports de communication interne et de publicité en bande dessinée ; il occupe cet emploi pendant dix ans. Cette activité le met en contact avec Sylvain Savoia et Jean David Morvan ; tous trois fondent l'atelier 510 TTC en 1994. Le trio entreprend la série manga Nomad et Buchet participe aux deux premiers albums, en 1994 et 1995. Avec Morvan au scénario, Buchet dessine La quête des réponses, one shot d'heroic fantasy humoristique publié en 1998. Cette même année débute la publication de leur série la plus connue, Sillage. Elle compte 19 albums en 2018 ainsi que Nävis, spin-off en cinq volumes, que Buchet co-scénarise avec Morvan, confiant le dessin à José Luis Munuera. Toujours dans l'univers de Sillage, Morvan et Buchet co-scénarisent Les chroniques de Sillage, faisant appel à différents illustrateurs (six volumes parus entre 2004 et 2008). Un autre spin-off, Sillage (Premières armes) est publié en 2014, avec le même tandem de scénaristes et un dessin de Pierre-Mony Chan. En 2006, Morvan et Buchet publient Wolverine : Saudade. Buchet exécute le dessin de Les Russes sur la Lune, premier volume de la série Jour J sur un scénario de Fred Blanchard, Jean-Pierre Pécau et Fred Duval, publié en 2010. Amateur de science-fiction, Buchet se dit influencé par des classiques comme l'écrivain Isaac Asimov ou 2001 l'odyssée de l'espace. 

  • Burns (Charles)

    Charles Burns est né le 27 septembre 1955 à Washington où il a fréquenté l'Evergreen College, célèbre école d'arts plastiques. Tout en réalisant quelques strips, il s'essaie à la photographie expérimentale et conçoit un roman-photo. Alors que ses travaux sont refusés par les principaux éditeurs en place, il fait la rencontre déterminante d'Art Spiegelman et de sa femme Françoise Mouly, les responsables de la revue Raw. De 1981 à 1991, il y multiplie les strips, les histoires courtes et les illustrations. Après avoir collaboré à différentes revues (Taboo, Death Rattle, Heavy Metal, Raw), il s'installe en Italie, de 1984 à 1986. Ce séjour lui permet de se faire connaître en Europe où ses histoires sont traduites et publiées par de nombreux éditeurs. Son talent désormais reconnu, Burns multiplie les illustrations pour différentes revues, magazines, anthologies de bandes dessinées alternatives et pochettes de disques. Contacté en 1993 par MTV, il collabore à une adaptation en dessin animé des gags de Dog Boy. Il participe également à la scénographie d'une version moderne du ballet Casse-Noisette. En 1995, il se lance dans la production de Black Hole, une série éditée par Kitchen Sink et reprise en France en 1998 par les éditions Delcourt. Usant d'un graphisme extrêmement stylisé, mêlant visions macabres et humour noir, Burns réinterprète à sa manière les grands mythes de l'Amérique conquérante des années 50.

  • Buscaglia (Alfio)

    Alfio Buscaglia, né en 1969, est un dessinateur de BD italien. On lui doit 100 âmes, Le Missionnaire, Mafias & co, Nuisible, Les Mystères de la quatrième république, ...

  • Buscema (John)

    John Buscema est un dessinateur de comics américain, né le 11/12/1927 à Brooklyn et décédé d'un cancer le 10/01/2002 à Port Jefferson (New York). Découvert par Stan Lee, John Buscema fut dans les années 1970 l'un des principaux dessinateurs de Marvel Comics, d'un style énergique proche de celui d'un Burne Hogarth, il sut assurer le succès de nombreuses séries: les Vengeurs, le Surfer d'Argent et Wolverine. Mais John Buscema ne s'est jamais aussi parfaitement exprimé qu'en animant des personnages d'Héroïc-Fantasy. La série de Conan le barbare, qu'il suivra pendant près de 15 ans, reste l'une de ses plus belles réussites. Son frère, Sal Buscema, est aussi un dessinateur de comics.

  • Buzzelli (Guido)

    Né à Rome le 27 juillet 1927, mort à Rome le 25 janvier 1992. Fils de peintre, Guido Buzzelli débute à dix-huit ans comme caricaturiste dans le journal Argentovivo puis, durant dix ans, il se spécialise dans l’illustration de couvertures de fascicules de BD. Après une bande dessinée pour le Daily Mirror Syndicate en 1954, il se tourne vers la peinture et ne revient à la BD qu’à la fin des années soixante. Un premier ouvrage, la Révolte des ratés, publié dans L’Almanacco dei comics, est traduit dans Charlie mensuel en 1970. C’est encore aux éditions du Square que l’on découvre Labyrinthes et Zil Zelub (1972), des séries préalablement parues dans Linus et Alter Linus. Quant à H. P. (1974), conçu avec Alexis Kostandi, il est édité en album par les Humanoïdes associés qui proposent aussi Aunoa (1979) et Morgane (1980). Dans les années qui suivent, Buzzelli sacrifie au western en collaborant à L’Histoire du Far-West en BD des éditions Larousse (1981) et surtout en reprenant, en 1985, le héros du western italien, Tex Willer.

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